Photographe mariage Puy-de-Dôme | Reportage au château la Canière
Marina & Antony
Photographe mariage Puy-de-Dôme : une journée intense en émotions
Marina et Antony se sont dit oui au cœur du Puy-de-Dôme, entourés de leurs proches, dans un lieu à la fois élégant et chaleureux : le Château de la Canière, à Thuret. Entre les préparatifs dans les chambres du château, une cérémonie civile à Saint-Bonnet-près-Riom, une église pleine d’émotion, et une soirée rythmée entre braséro et piste de danse en feu, leur journée avait tout pour marquer les esprits. C’est justement ce que j’aime documenter : des journées vivantes, vraies, où on peut capture de belles émotions. Et croyez moi c’était une journée riche en émotions !
Les coulisses d’un mariage au château – Puy-de-Dôme
Deux ambiances, deux préparatifs
La journée a commencé dans les chambres du château, chacun de leur côté. Marina se préparait dans la suite nuptiale, entourée de sa maman, de ses amies et de ses témoins. Elle était en train de se faire coiffer et maquiller, assise face à un miroir, baignée par la lumière douce de fin de matinée. Autour d’elle, les échanges étaient calmes, les regards discrets, les gestes attentionnés. Une atmosphère intime, simple, vraie.
De l’autre côté du château, Antony se préparait avec leur fils de 8 ans, son père et quelques amis proches. Dans cette autre pièce, plus brute, la lumière passait par les grandes fenêtres. Une baignoire trônait au centre, un miroir servait à ajuster les derniers détails, une fiole de rhum circulait. On riait, on se préparait sérieusement, mais sans pression. Chacun prenait le temps.
Découverte dans la galerie suspendue du château
Photographe de mariage dans le Puy-de-Dôme depuis de nombreuses années, j’ai rarement vu autant d’émotions. Les mariés se sont découverts à l’étage du château, dans la galerie circulaire qui surplombe la grande salle et laisse voir le dôme de verre tout en haut. En effet, c’est un lieu fort, graphique, avec une belle lumière.
Quand Marina est apparue, Antony n’a pas pu retenir ses larmes. Il l’a prise dans ses bras, bouleversé. Puis quand sa mère est arrivée peu après, l’émotion est remontée de plus belle. Ces moments-là, pris sur le vif, racontent bien plus qu’un simple portrait.
Mariage en village : entre mairie, église et sortie en bulles
Une cérémonie civile à Saint-Bonnet-près-Riom
En début d’après-midi, tout le monde s’est retrouvé à la mairie de Saint-Bonnet-près-Riom. Avant même que la cérémonie ne commence, l’arrivée des mariés a été marquée par le bruit assourdissant des grosses cylindrées alignées devant la mairie : une magnifique Mustang, une Porsche rouge et une BMW ont fait rugir leurs moteurs, attirant tous les regards dans le village.
La cérémonie civile a débuté à 15h30, menée dans la simplicité, avec les sourires et les regards discrets des invités qui attendaient la suite.
Cérémonie religieuse à l'église de Saint-Bonnet-Près-Riom
Après la mairie, le cortège s’est dirigé à pied vers l’église du village. L’atmosphère y était plus solennelle, mais sans être figée. Leur fils a apporté les alliances, concentré et fier. Ce geste, à lui seul, résumait beaucoup de choses sur cette famille.
La cérémonie religieuse s’est conclue par un discours très personnel d’une proche, rapidement submergée par l’émotion. Sa voix tremblait, les mots venaient du cœur. Toute l’assemblée a été touchée.
Pendant que les invités sortaient de l’église pour se rassembler à l’extérieur en vue de la sortie des mariés, on en a profité pour réaliser quelques photos de couple dans la nef. L’église était vide, silencieuse, baignée par une lumière douce. Un joli cadre pour une courte pause à deux, dans le calme, avant de retrouver l’agitation joyeuse de leurs proches.
Puis les portes se sont ouvertes. À l’extérieur, les proches attendaient Marina et Antony avec des bulles, des rires et des applaudissements. Une transition simple et naturelle, dans le rythme de la journée, comme j’aime les photographier en tant que photographe de mariage dans le Puy-de-Dôme : sans rien figer, juste en étant au bon endroit, au bon moment.
Soirée de mariage au Château la Canière – Reportage photo dans le Puy-de-Dôme
Photos de groupe, miroir et lumière dorée
Le retour au Château de la Canière s’est fait tranquillement, dans le rythme naturel de la journée. Une fois sur place, après quelques photos de groupe dans la cour, le vin d’honneur s’est ouvert à l’arrière du domaine, au cœur du parc. Entre les statues, la fontaine, les échanges de verres et les rires des enfants jouant autour du château gonflable, l’ambiance était détendue, vivante — typique des mariages en Auvergne.
Un peu plus tard, une photo a particulièrement marqué les invités : sur les marches du château, des amis tenaient à bout de bras un grand miroir dans lequel se reflétait le couple face à eux. Un moment simple, fort visuellement, et parfaitement dans l’esprit de mon approche documentaire de la photographie de mariage.
Juste après, on a pris un moment pour une courte séance couple dans le parc — à la lumière douce de fin d’après-midi, avant le lancé de bouquet de la mariée. Une transition naturelle, sans pause forcée, comme je les aime quand je réalise un reportage photo de mariage dans le Puy-de-Dôme.
Une entrée en salle comme un début de fête
À 20h30, les portes de la salle s’ouvrent. Les mariés font leur entrée. Dès les premières notes de “La Bamba”, les invités dansent, chantent, tapent dans les mains. La fête commence avant même le premier plat.
Tout le monde s’installe ensuite pour le repas, servi par le traiteur Maison Supiot de Sainte-Florine, qui avait déjà régalé tout le monde avec son braséro pendant le cocktail. Viandes grillées, plats généreux, ambiance conviviale — tout était à la hauteur.
Le repas est ponctué de discours. Les témoins prennent la parole. Puis d’autres proches. Et surtout, la sœur du marié. En effet, son intervention a marqué la soirée. Elle a parlé simplement, avec émotion. Pas de grandes phrases, juste des mots justes. Marina et Antony n’ont pas pu retenir leurs larmes. Et personne dans la salle n’en est sorti indemne.
De plus, ce sont ces instants-là que je cherche à documenter. Sans intervenir, sans diriger. Être là quand quelque chose se passe. C’est ça, mon travail : raconter les gens, pas les poser.
Galerie photos
Prestataires
Lieu de réception : château la Canière à Thuret, Puy de Dôme
Traiteur : Maison Supiot, Sainte Florine, Puy de Dôme
